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Hotels near Vernegues Roman Temple:

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30 décembre 2015 3 30 /12 /décembre /2015 10:20
Le site de Château-Bas à Vernègues (Bouches-du-Rhône), surtout connu pour son temple romain augustéen, a livré une série cohérente de piliers décorés soit de serpents ondulants, soit de baguettes droites. Ces piliers restent pour l’instant dépourvus de parallèles connus. La découverte d’un fragment de ces piliers en remploi dans une structure du I er  s.  apr.  J.-C. atteste la datation antique de ces réalisations. L’étude architecturale des fragments et leur mise en regard avec d’autres éléments sculptés de Gaule du Sud permettent de suggérer une datation autour du changement d’ère. L’originalité de ces pièces est peut-être à chercher dans l’emprunt et l’adaptation de schémas architecturaux italiques (base attique, chapiteau toscan) à un type de monument (pilier, stèle) et à un décor (serpent) attestés au second âge du Fer dans la basse Provence.
téléchargez la suite
Sandrine Agusta-Boularot   et Raphaël Golosetti  avec la collaboration d’Alain Badie
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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 21:35

     ColonneTemple.jpg         La route qui mène d'Aix à Avignon gravit d'abord une côte et gagne un.plateau, d'où l'on peut admirer,vers le nord comme vers le sud, un incomparable horizon de montagnes. Non pas ces montagnes vertigineuses et rébarbatives où vivent les divinités de là Tétralogie velues et violentes comme des fauves, mais des montagnes dignes, par la noblesse de leurs lignes, de figurer dans quelque tableau.de Poussin. La route traverse St-Cannat, traverse Lambesc, et bientôt, descend vers la Durance.. A peine;2 kilomètres avant la rivière il faut s'engager dans un chemin étroit tout à fait champêtre. II conduit à Château-Bas belle demeure pacifique et retirée, que protègent d'admirables platanes et qu'abreuvent de belles eaux, J'ai toujours pensé que Château-Bas, contre sa ruine secrète, était une demeure à fantômes. Les climats du sud ont aussi leurs spectres, qui n'ont rien à voir avec les revenants embrumés d'Ossian et d'Hoffmann, il existe un fantastique latin, que Mistral a profondément senti et profondément exprimé, et qui atteint sa perfection exemplaire dans un conte comme La Venus d'Ille, de Mérimée. Nous risquerons-nous à écrire un jour la Diane de Château-Bas ? Si c'est vraiment à Diane, que fut voué ce temple, le sommeil de la chaste déesse aura été longtemps respecté par les hommes ! Quel oubli ! A peine si, au début du XVIIe siècle, ces vestiges, arrêtèrent, le temps d'un croquis, dans sa promenade l'humaniste Peiresc, qui était curieux de tout. En 1824, l'auteur de la Statistique des' Bouches-du- Rhône écrivait : « ...Si là belle colonne qui reste debout au temple de , Vernègues eût été placée sûr les rochers de la Grèce ou dans les déserts de l'Asie Mineure, elle serait probablement connue de l'Europe». Plus de cent ans ont passé : la belle colonne n'est pas beaucoup plus connue. Peut-être cette ignorance l'a-t-elle jusqu'à présent préservée. C'est moins la beauté architecturale du temple qui le rend attachant que sa situation. La svelte déesse de pierre agit sur nous avec tant de force poétique parce qu'elle se dresse au milieu des arbres au bas d'une pente que parfument toutes les herbes que broute la Chèvre d'Or et qui donnent au gibier de ce pays un goût si savoureux. Un chemin qui est à peine une piste longe le parc de Château-Bas. Il aboutit bientôt à un sous-bois sans taillis où régnent quelques chênes immenses, assez vieux, assez prospères, pour être uniques dans la région. Sous ces Seigneurs dodonéens, la première fois que je vins ici, le troupeau des Boculiques se désaltérait à de longs abreuvoirs de pierre, bas et frustes. Ainsi, le paysage accueillait il presque miraculeusement les figurants pastoraux pour lesquels il semblait fait. Dans ce "temps là" une intervention fâcheuse des Monuments Historiques n'avait éclairci les arbres épais qui, au bas de la colline enveloppaient la ruine. Entre les branches, on entredevinait parfois la colonne sacrée. Tandis que tu avançais, elle apparaissait, disparaissait ; jouait à te provoquer, à te recevoir. Tu retenais ton souffle, un peu comme un chasseur qui Surveille une biche arrêtée, et qui craint, au moindre bruit, qu'elle ne s'échappe. Puis, enfin toute ntière, filant d'un beau jet franc vers le çiel, la divine survivante; livra sa forme à ta vue... On ne sait pas grand'chose de ce Temple. Il devait être fort petit. Peut-être était-ce requivalent.de ce qu'est une chapelle de château où ex-voto offert à une source bienfaisante, à une divinité rurale, Bien plus tard, on appuya, au seul mur resté debout de la vella, une chapelle romane. Sans doute, bien avant, lorsque le Tempietio était presque encore entier, fut-il transformé en sanctuaire chrétien : on y voit encore une petite colonnette mérovingienne,imitation réduite et gauche de la grande soeur romaine. Mais, qu'importe 1 Et combien M. André Hallays a raison d'écrire, dans les pages où il vante le Vernègues : « ...L'incertitude des conjectures archéologiques ajoute à la beauté des choses l'attrait du mystère. . . ; c'est le sortilège de la lumière et du paysage qui donne a cette ruine son incomparable séduction ». Récemment « l'attraît du mystère » fut, ici, sérieusement menacé.   Les Monuments Histôriques résolurent d'arracher le lierre qui vêtait la ruine et d'abattre les arbres qui l'environnaient. Le lierre fut arraché. Puis les bucherons commencèrent leur fatale besogne. "Par bonheur, le propriétaire de Château-Bas put être alerté. Il arrêta immédiatement le crime, qui allait être commis; Les archéologues sont par fois aussi dangereux que les « elginistes ». Plus dangereux, car les premiers, détruisent, tandis que les seconds se contentent de déplacer. Pour ceux qui virent avant ses blessures le Temple du Vernègues, ( Vernègues vient dé Vergne; vergne : aulne), l'endroit est assurément moins beau qu'autrefois ; mais les autres, ceux qui n'y vinrent jamais éprouveront une impression très profonde, inoubliable. Quant aux y arbres, ils ont. Dieu merci, la vie plus dure y que les spécialistes chargés de veiller sur la beauté de notre pays ; et le sang limpide de la Nymphe â laquelle fut dédié le Temple les nourrira. Jean-Louis VAUDOYER. ( le mémorial d'Aix – 1921 )

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 21:23

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On a trouvé à Vernègues, près d'Aix, dans les ruines d'un Temple, au lieu dit la maison basse, une inscription :"Loui Tonanti" (C.I.L XII, 501) On a la même dédicace sur des monnaies d'Auguste, représentant un Temple à six colonnes, avec la statue du dieu debout et appuyé sur un sceptre.

source

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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 00:45
L'encyclopédie de Diderot et D'alembert est en ligne . Il faut un peu chercher son bonheur comme dans une caverne, mais il existe, pour les amateurs d'histoire et d'agriculture, quelques perles.

...Soit que la vigne soit plantée de crossettes ou autrement, on ne lui laisse point manquer de façons ordinaires. On commence d'abord par la tailler. Rien n'est plus nécessaire & utile à la vigne que la taille ; sans elle le fruit que cette plante produiroit n'auroit pas la grosseur ni la qualité de celui dont la taille auroit été faite comme il faut. Voici ce qu'on peut observer sur la taille de la vigne. Il faut d'abord en examiner le plus ou moins de force, afin de la tailler plus ou moins court.PlancheVigne.jpg
On doit charger les seps qui ont beaucoup de gros bois, c'est-à-dire, leur laisser deux corsons
ou recours, ou vietes, comme on dit en certains pays. Il faut que cette charge ne cause point de confusion, & comme i
l faut que les seps vigoureux soient taillés de cette maniere, aussi doit on laisser moins de coursons aux seps qui ont moins de force.
Quand on taille la vigne, il ne faut asseoir sa taille que sur les beaux sarmens qu'elle a poussés ; le tems de faire ce travail est le mois de Février, ou plus tôt même si le tems le permet. La vigne doit être taillée quinze jours avant qu'elle commence à pousser.
Sous le mot de vigne, on entend ici celle qu'on cultive dans les jardins, ainsi que celles qu'on plante dans la campagne. Les premieres principalement, quand elles sont exposées au midi, veulent être taillées au plus tôt. Il y a des vignerons qui commencent à tailler leurs vignes avant la fin de l'hiver. Ils laissent pour cela tout de leur longueur les sarmens sur lesquels ils
veulent asseoir leur taille, sauf après l'hiver à les couper convenablement ; cette méthode avance leur travail.
Il faut quand on taille la vigne, laisser environ deux doigts de bois au-dessus du dernier bourgeon, & faire ensorte que l'entaille soit du côté opposé à ce bourgeon, de crainte que les larmes qui sortent par cette plaie ne la noient. On doit retrancher toutes les menues branches
qui croisent sur un sep, elles n'y font qu'apporter de la confusion.
On doit en taillant la vigne ôter du pié les seps de bois qui lui sont inutiles, & que la paresse
  du vigneron y auroit laissé l'année précédente, dans le tems de l'ébourgeonnement. Lorsque le tronc d'une vigne est bien nettoyé, il est plus aisé à tailler que quand il ne l'est pas. Dans la plus grande partie de la Bourgogne on met en perches les vignes quand elles ont quatre ans, qui est ordinairement le tems qu'elles commencent à donner du fruit en abondance.
Lorsque la vigne ne fait que commencer à pousser, & qu'elle vient à geler en bourre, on peut espérer qu'elle pourra produire huit ou dix jours après (si l'air s'échauffe), quelques arrieres
bourgeons, dans chacun desquels il y aura un ou deux raisins ; c'est pourquoi on se donnera bien de garde de couper d'abord le bois de cette vigne gelée, ni d'y donner aucun labour. Il
n'y faudra toucher que lorsque le tems sera adouci.
Mais quand la vigne a été tout-à fait gelée, & qu'il n'y a plus d'espérance qu'elle donne d'arrieres-bourgeons, il faut couper tout le bois ancien & nouveau, & ne laisser seulement que les souches. Cette opération renouvelle entierement une vigne ; si cependant la gelée vient fort tard, c'est-à-dire, depuis la fin de Mai jusqu'au 15 de Juin, on ne coupera aucun bois,
parce que la saison étant pour lors avancée, la vigne ne manque pas de repousser quantité de nouveaux bourgeons, qui cependant ne donnent que du bois pour cette année.
( source : http://diderot.alembert.free.fr/V.html )
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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 19:03
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10 août 2009 1 10 /08 /août /2009 21:39



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20 janvier 2008 7 20 /01 /janvier /2008 21:43


Les images ci dessous sont tirée d'un excellent livre de la fin du XIXème siècle.
D'ailleurs, si vous souhaitez connaitre le paragraphe qui parle de votre région, écrivez moi, je le mettrai en ligne.

     Dans l'introduction l'auteur, Joseph PERRAUD, rappelle les principes de la taille de la vigne:
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19 janvier 2008 6 19 /01 /janvier /2008 10:16
différentes tailles en France
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13 janvier 2008 7 13 /01 /janvier /2008 22:26
Le Poinct de la lune pour la taille de la vigne, parcreue et estant en port, sera une année en croissant et l'autre en décours: afin de l'entretenir en bon estat, par les diverses propriétés observées en telle planète. Car puis que par influence céleste, toute couppe de bois, faite lors que la lune croist, produit plus de bois, que quand elle décroist: et au contraire, plus de racine; la vigne par ce moyen est accomodée de ce qu'elle désire, par compensation de différentes facultés, se fortifiant du pied en une année, et se fournissant de rameauxTaille2.gif, en une autre: dont elle se rend capable de fructifier abondamment, et longuement.
Quant au temps; il sera limité par le fonds de la vigne et espèces de ses complants, selon l'adresse du planter. Si la vigne est assise en coustau chaud, de terre maigre et sèche, et composée de races ayans petite mouelle ; sera couppée le plustost qu'on pourra après que ses fueilles seront cheutes : au contraire, le plus tard, celle qui est posée en platte campagne, de terre grasse, humide, et froide, fournie de complant de grosse mouelle. Et où qu'elle soit assise, ne de quelles espèces complantées, tous-jours choisira-on un beau jour pour la tailler, non importuné de froidures ni d'humidités, comme a esté remarqué. Parquoi en un endroit faudra mettre la serpe devant l'hyver, et en autre après. Le plus-tost est limité au mois d'Octobre, le plus-tard en celui de Mars : l'entre-deux sera bon pour les vignes qui sont ès lieux tempétés, dont le plus désirable temps est le mois de janvier : pourveu qu'il souffre le travailler. Ceci est tout asseuré, que la taille primeraine, faicte en la montée de la lune, cause abondance de bois aux vignes : et la tardive en sa descente, au contraire, n'en faict produire que bien peu. L'observation de ces deux contrariété est du tout nécéssaire. Car par le premier moyen, on remédie aux vignes lan-guissantes ; et par le second , aux trop abondantes en bois : dont les unes et la autres se perdent, bien que par contraires chemins, mais par là sont-elles remises en estat de bien fructifier. A ceste-là donnant vertu et force, la taille avancée, pour lui faire produire du bois, dont elle a faute : et à ceste-ci, la retarde, lui rabbatant son trop d'orgueil et luxure qui la surcharge en rameaux, l'empeschant de fructifier, par y employer toute sa substance. Et ce en lui faisant vuider en larmes telle sur-abondante humeur, qu'en grande quantité l'on void distiller au printemps. Ne craidrés donques d'user de ces remèdes autant longuement que vos vignes le requerront : assavoir, deux, trois, quatre ans de suite, et en somme jusqu'à ce que verrés y avoir de l'amendement. Aussi noterés ceste maxime générale ; que plustost la vigne est taillée, plus elle jette de bois. Et au plus tard, plus de fruict. ( Olivier de Serre (1539-1619) - Le théatre d'Agriculture et mesnage des champs )
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23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 14:24
L'HISTOIRE EN DETAIL

C'est en 1442 qu'un riche habitant d'Avignon, Guillaume de Damian, rachète la seigneurie du Vernègues. Il n'obtient son titre de noblesse qu'en 1460, donné par Charles d'Orléans, comte d'Asti, d'où est originaire la famille De Damian.

Dès le rachat de la seigneurie, il semblerait que la famille se soit installée dans la demeure seigneuriale de Maison Basse dont l'emplacement n'est pas encore reconnu; sans doute à l'emplacement du château actuel sur les restes d'une agglomération antique à vocation agricole et viticole, celle-ci étant attestée en prospection archéologique.

A l'origine il semblerait que le château ait eu un aspect semi-fortifié, bâti avec ses quatre tours d'angles sur une terrasse comprise entre le temple antique et le parking actuel. Il est avéré qu'il a été entouré par un fossé car il est fait mention d'un pont mobile dans un inventaire des biens de la famille De Damian du début du XVIII ème siècle, situé à l'entrée Est du château.

En 1750, la seigneurie est vendue aux enchères par décision judiciaire et c'est l'ancien trésorier des états de Provence, Henry Gautier du Pöet qui en devient le propriétaire. Sa famille gérera la seigneurie jusqu'à la Révolution qui la pousse à émigrer, l'ensemble des biens étant alors vendu et les propriétés divisées.

Jusqu'à la deuxième guerre mondiale, comme la plupart des domaines agricoles méditerranéens, Château Bas pratiquait la polyculture et l'élevage : céréales, vignes, oliviers et élevage ovin.

On retrouve de nombreuses traces et mentions d'aménagements en relation directe avec ces activités, pressoirs à chapelle du XVIIIème siècle, tonneaux, prairies, vieux oliviers, bergeries et écuries.

Aujourd'hui, le Château abrite dans son cadre exceptionnel une exploitation viti-vinicole de renommée qui vous convie à la découverte de ses monuments, parmi les plus beaux de la région.

En contournant le château, sur le chemin qui mène au temple, dans un décor où sont mêlés vignes et cerisiers, on peut apercevoir les restes de la margelle monolithe d'un puits antique ainsi que le contrepoids d'un pressoir de la même époque. Ces blocs ont été marqués par les charrues, traces qui témoignent de leur enfouissement pendant plusieurs siècles.

Immédiatement après, sur ce même chemin le long du mur du parc, on peut voir l'arasement d'un mur antique, sorte d'introduction à l'image étonnante empreinte de romantisme du temple de Diane et de la petite chapelle Saint Césaire, cachés sous les frondaisons en arrière du château.

Le temple de Diane est daté de la décennie 30 à 20 avant notre ère. Il se place au centre d'un péribole semi-circulaire, face à une source qui fut sans doute l'élément fondateur de ce monument. Ces restes permettent de se représenter assez fidèlement son état d'origine. Temple corinthien tétrastyle, il devait donc comporter deux rangées de colonnes, quatre en façade et deux en arrière dont celle encore visible aujourd'hui. Derrière se trouvait la cella ou salle, encadrée de pilastres aux quatre coins. Devant, entre deux avancées du podium, un escalier dont certaines marches étaient encore conservées au XVI ème siècle permettait d'accéder au temple. La petite colonnette que l'on peut voir au dessus de la chapelle fait sans doute partie d'une ouverture opérée dans le mur à l'époque mérovingienne2# ou carolingienne3# lors d'une probable réutilisation du bâtiment comme église, l'artisan ayant alors repris le vocabulaire corinthien des colonnes du temple.

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